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LA securité
Tutorat

La sécurité des citoyens en Amérique latine

La sécurité publique est devenue une question importante dans le programme de consolidation et de développement de l'Amérique latine démocratique. Impose des coûts économiques élevés et introduit dans la vie politique. Analyse des causes multiples de la violence sociale, qui doivent être analysés dans une perspective holistique. Incitations à la violence impliquant l'impunité généralisée qui est le résultat de la faiblesse de l'application des lois et le système judiciaire sont discutées. Sécurité comme un bien public, est de la responsabilité première de l'État, mais aussi la responsabilité des autorités locales et la société civile. Une stratégie globale contre la violence, il faut renforcer l'Etat de droit, la réforme du système judiciaire et de la police, des prisons, des efforts accrus en matière de prévention, et une plus grande implication de la société civile.
Le coût de la violence
Délinquance et la violence sont parmi les problèmes les plus complexes et les plus répandues qui devront faire face l'État en Amérique latine au cours de ce siècle. Et clairement leurs effets tendent à se mondialiser. Non seulement parce que notre région reste le plus dangereux dans le monde; parce qu'il a eu dans la dernière décennie, un taux six fois plus élevé que la moyenne mondiale de l'homicide; parce que dans les cinq dernières années des taux élevés de criminalité et de violence; parce que prévaut la perception de l'insécurité incontrôlée; mais aussi parce que les coûts de la violence sont si élevés qui viennent, par exemple, 15% du PIB au Mexique et 10% du PIB au Brésil, pour ne pas mentionner comment il devient un obstacle à l'investissement étranger dans les pays en développement.
Plusieurs études menées à la fois par la Banque interaméricaine de développement et la Banque mondiale, ont mis en évidence la façon dont les coûts de la violence en Amérique latine gamme de 2% à 15% du PIB; le coût de la sécurité privée est de l'ordre de 8% à 25% du PIB, les coûts en termes de santé publique, par exemple, est d'environ 5%; sur la justice et environ 9% du PIB. Ces chiffres affectent clairement la sécurité juridique et politique, la compétitivité économique, le tourisme, la productivité et donc la croissance et le développement. Au Brésil, par exemple, le taux d'homicides dans le pays au début des années nonante avait été aussi faible que celui du Costa Rica a été la fin de cette décennie, le revenu par habitant aurait été plus $ 200, et le PIB de 3,2% à 8,4% plus.

Les traits de la violence
En général, on peut dire que le conflit est endémique à la vie sociale, il n'y a institutionnalisé pour faire face de manière adéquate les médias, et, comme le problème central de la vie moderne, doit reconnaître les liens entre macro et micro à trouver des solutions créatives à ce. Solutions pour démarrer des relations interpersonnelles, de s'élever au niveau de l'État, et terminer impliquant des engagements mondiaux par la coopération internationale. Ce dernier, en raison de la grande menace transnationale qui a brisé les frontières et aujourd'hui pénètre dur et une certaine similitude dans les réalités des différents pays en impliquant le comportement criminel global que la traite des personnes, d'armes et de drogues, le blanchiment d'argent et d'autres séries en dehors de la juridiction limitée des Etats souverains actions. Cependant, sur le crime, il n'existe pas de consensus sur le diagnostic et sur les mesures de lutte contre la criminalité et de la violence politique.
Plusieurs études mettent en évidence la relation entre la violence domestique, la violence interpersonnelle et même mondial. En particulier, une relation entre les causes de niveau macro et micro de la violence, et entre les causes objectives et subjectives d'elle. Ce n'est pas une coïncidence, comme en témoignent certaines criminologiques scolaire que les membres qui ont frappé leur école ou de l'unité de la famille, est également plus susceptibles de se livrer à des actes criminels qui tentent contre les biens, la vie et d'autres droits protégés par le système juridique. Par conséquent, ce qui peut être la première entrée est la nécessité d'une approche intégrée et globale avec une approche holistique avec la capacité de briser le syndrome de «silos» qui menace actuellement le traitement des conflits violents dans les sociétés latino-américaines.
Du point de vue de la politique publique, par exemple, l'on attend d'institutions publiques officielles responsables de la lutte contre la criminalité violente. Ce serait exercée à la fois par l'articulation des stratégies de prévention telles que la mise en œuvre de l'appareil répressif de l'Etat, à savoir le système de la police et de la justice, bien que la priorité avait été le dernier. Dans ces zones, la modernisation de l'administration publique jouera un rôle de premier plan. D'autre part, le point de vue sociologique s'appuie sur la relation entre la culture et la structure sociale. Comme l'a démontré avec beaucoup de force, les conduisent à l'érosion du capital social, l'inégalité et l'exclusion, par exemple, constitue une cause efficiente de la violence. Ainsi, l'analyse de coutume que la pauvreté ou le manque d'occasion ne peuvent pas être classés comme un facteur dans l'étiologie de la violence est réévaluée. Ainsi, la vision de la psychologue et le sociologue doit être correctement complété par le point de vue de l'anthropologue, historien et criminologue, sans parler de la grande contribution du politologue, économiste, avocat et administrateur public. Le mélange entre l'objectif et les dimensions subjectives, ainsi que entre la micro et la macro est irréprochable.
Le problème de la violence est, comme l'a souligné par de nombreux analystes, une sorte de toile d'araignée qui provoque-du interpersonnelle pour l'économie mondiale et les conséquences sont reliés les uns aux autres. La réponse, donc, ne peut pas être unique, même mentionné à quelques variables, mais doit être due à une multiplicité d'actions dans divers domaines. Il s'agit, comme nous allons le voir, les difficultés de plantation dans la voie de la conception, le développement, la mise en œuvre, la mise en œuvre et l'évaluation des politiques publiques de sécurité.

L'appareil public et violence l'état est un facteur clé dans la prévention de la production, le contrôle et la répression de la violence. De l'alliance de Hobbes, il est présumé que la société offre la puissance de l'État, dans laquelle est l'utilisation de la force, et en retour reçoit des garanties de la liberté et de la sécurité. Si ce n'est pas le remède alternatif pervers ouverte de prendre la loi dans leurs propres mains.
Comme on peut aisément déduire, il n'est pas recadrer le débat autour du rôle du gouvernement dans la résolution des problèmes publics à partir des paramètres traditionnels de la même si nous partons du principe qu'ils dépendent des mécanismes de marché, car ils ne sont pas destinés fournir équité, de sécurité et de justice ... La tendance à placer les maux de la société sur la tête du secteur public, qui a mené depuis le début des années quatre-vingt à placer comme la cause de tout négatif a été inversée pour que sa «réduction des effectifs» en soi ne peut pas être acceptée dans toute discussion pratique. En revanche, toute tentative de démanteler le secteur public afin d'éviter ce type de conflit est en contradiction complète contre certaines interventions qui ont été très efficaces.
Et même aujourd'hui, ne peut pas nier le rôle que le secteur privé peut jouer dans la mobilisation des efforts de lutte contre l'insécurité, ce devrait toujours être sous la supervision et la direction du système public. Si quelque chose est clair que la faible réactivité de l'état est causée, entre autres, dans une grande faiblesse institutionnelle du secteur public pour assurer la sécurité, qui doit être conçu comme un «bien public» de plus en plus rare et précieuse.
En outre, le pouvoir de l'État doit être le résultat d'un renforcement au niveau local, en raison des effets néfastes de la violence dans le domaine de la gouvernance municipale et urbaine. L'un des principaux obstacles au développement local est la violence urbaine. Cela affecte directement plus de 75% de la population latino-américaine, qui est dans les villes. Sans préjudice des pouvoirs du gouvernement central pour la définition des politiques de sécurité, chaque jour devient plus urgent bien combiner ces politiques avec les nouveaux instruments de la décentralisation et des mécanismes de participation citoyenne au niveau municipal. Parlant de la sécurité publique en dehors de la gestion des bâtiments des gouvernements locaux est d'ignorer une dimension centrale du problème.
L'étiologie du crime
Les méthodes appliquées en sciences sociales et en particulier, bien que les statistiques criminelles encore naissantes peuvent montrer par exemple que dans le cas de l'Amérique latine, plus de 70% de la population carcérale sont des hommes, qui vivent dans les villes, dans la pauvreté, et sont moins de trente ans. De là, ils pouvaient obtenir des relations de cause à effet entre la criminalité, la migration vers les villes, le sexe et les jeunes, qui ne correspond pas nécessairement à une séquence linéaire.
Un exemple en est le débat qui a cherché à établir une corrélation entre la pauvreté et le taux de criminalité. Si les corrélations donnent aussi rapidement que certains prédication, la criminalité aux États-Unis, ce qui est quatre fois plus élevé qu'en Europe et au Canada, implique que les niveaux de développement et la croissance économique aux États-Unis étaient beaucoup plus bas par rapport à celui-ci. Ceci est provoqué parce que, en dehors de la mesure des niveaux de développement et de pauvreté, jamais un impact sur la multiplicité des variables impliquées dans ce problème doit être rejeté. En fait, en Amérique latine, les pays les plus pauvres de la région ne sont pas nécessairement les plus violents, les plus développés ne sont pas nécessairement moins violents. Cependant, cette relation n'est pas linéaire ne remet pas en cause les conséquences évidentes de l'inégalité et de l'exclusion sociale alimenté la violence comme facteur de criminalité
En termes de politique pénale, la présence de plus de trois millions de crimes violents aux États-Unis chaque année, a conduit à de nouvelles approches scientifiques qui justifient un traitement comme une épidémie. Toutefois, ce n'est là qu'un aspect du problème complexe de la violence. Encore une fois, le point de vue utile, mais limité de la santé publique devrait apparaître complété par un autre type de rationalité, en particulier dans le domaine de l'administration publique, des politiques de justice pénale ne doit pas seulement viser à la répression.
La règle de droit démocratique comme point de départ
Les conditions d'une règle de droit qui implique, entre autres choses, la prévisibilité, la sécurité juridique, l'exercice effectif des droits civils fondamentaux, l'ouverture politique, la transparence, la reddition de comptes, etc. ... sont essentiels pour fonder une stratégie de lutte contre la violence, à la fois préventive et répressive niveau.
Crime aucunement en compte le degré d'impunité avec lesquelles la société paie pour jouer dans la transgression de la loi. La grande faiblesse institutionnelle des agences de l'exécutif dans ce domaine de la justice et de l'inefficacité de la politique et de la justice pénale institutionnel lorsque lutte contre la criminalité et la violence sont de véritables outils limitant la primauté du droit. Comme déjà dit, la volonté de la société de sacrifier leurs libertés en échange de dilemme de la sécurité est une des sociétés en transition appropriées Frapper la gouvernance démocratique. Cette volonté de sacrifier les libertés fondamentales devrait être en déclin, et son lien de causalité évident avec l'efficacité des forces de répression est un cercle vicieux qui doit être brisé de démocratique, efficace, transparent et de politiques publiques à long terme et à moyen.
Le système de justice est appelée à jouer un rôle dans ce sens pointant dans deux directions: d'abord, comme un exemple de résolution des conflits, et d'autre part, en tant que dispositif de respecter, promouvoir et garantir les droits de l'homme. Malheureusement, la fragilité et le manque d'indépendance des systèmes judiciaires en Amérique latine ont réduit les chances d'atteindre les fonctions ci-dessus. La responsabilité première du système par la police, la justice, la prison-système de justice est d'exercer sa prévention et de dissuasion pour les auteurs potentiels de violence ou les auteurs du crime. Dans les pays où la loi est détendue en face de l'efficacité de la politique pénale, vous arrivez à l'abus d'autorité, la brutalité, les violations des droits de l'homme et la corruption de toutes sortes, tels que le terrain mieux parti pour vérifier la défaillance du système la justice en général. Tout cela dans un contexte de manque de coordination intersectorielle des divers organismes publics à la suite de l'improvisation dans la conception des stratégies gouvernementales en matière de criminalité et de violence.
D'autre part, supposé crime impuni "payer" parce que, dans le jargon des économistes, produire des taux de rendement élevés en réduisant les chances que l'agent producteur de la violence est dénoncé, arrêté et condamné. Par conséquent, toute action doit être orientée vers veillant à ce que des sanctions sont prévues pour une telle conduite et que effectivement rencontré. Si la sécurité du public peut venir par l'exercice et la capacité de la citoyenne face dans leur vie quotidienne sans menaces à leur intégrité personnelle, de leurs droits civils et des biens, il est clair que les deux une action en état immédiate et forte comme l'accomplissement de la loi, doit apparaître menant des actions du secteur public.
Comme déjà indiqué à titre préliminaire, une analyse sur le rôle de l'Etat contre la violence en Amérique latine doit se faire sans tenir compte des conséquences de tradition centralisée, autoritaire et dictatorial contre les forces exécutives pénétrées La police et la sécurité dans la région. C'est le principal facteur déterminant de toute stratégie future de la réforme institutionnelle dans ce secteur. Cela conduit au risque que souvent recours à une action militarisée pour aborder les questions de sécurité publique, mais ce fait affecte également la phase préventive de l'action de l'Etat donc l'histoire récente de notre continent simples traits problème de la sécurité des citoyens en Amérique latine, ce qui empêche l'application aveugle des réalités non-politiques des pays dans les modèles de la région. Les doctrines de sécurité nationale, par exemple, sont une étude obligatoire en ce qui concerne nos forces de sécurité, et ne lèvent même nostalgie autoritaire.
Les systèmes de police et de justice
Dans le domaine de la réforme du système de justice pénale, la tendance depuis le milieu des années nonante dans la région a été de passer du système de type inquisitoire de systèmes accusatoires de poursuite pénale pour assurer la poursuite et le droit de défendre incriminé, et ainsi rendre le système plus efficace. Ainsi, la coopération internationale a participé dans le renforcement institutionnel du Procureur et le ministère public, les entités détenant des poursuites. Il a également accompagné certains de ces processus renforcé la sensibilisation du public en tant que composante de certains programmes de modernisation de la justice dans la région.
La réforme des systèmes de police et de justice est le plus grand défi dans les objectifs qu'ils se sont fixés les programmes de réforme de l'État ont été mis en œuvre dans la période récente. La définition de la politique pénale et la prévention du crime qui répondent aux critères complets pour la planification stratégique à différents niveaux territoriaux sont un besoin immédiat. Police, les juges, les procureurs et défenseurs publics devraient conduire passifs qui sont enracinées dans un fort sentiment d'appartenance à des programmes de réforme, avec des chemins d'articulation claires et le travail d'équipe, et sans préjudice de leurs autonomies respectives.
En outre, la définition d'une stratégie pour la réforme des forces armées et la police a déclenché un nouveau débat, et dont la gestion présente une certaine complexité. Par conséquent, au moment de recommander des formules dans cette affaire, les principes directeurs devraient être une réflexion prudente et tranquille. Si ce sont des programmes qui doivent être «sur mesure» à nos réalités, une discussion générale sur les avantages et les inconvénients de la spécification d'un cadre politique approprié. Les programmes de réforme des systèmes de police font partie de la réforme du système de justice pénale, dans la mesure où la police est un acteur par excellence de ce système. Que ce soit la prévention ou de la répression, ils se réfèrent à une pierre angulaire du système de justice pénale. Contrôle, la prévention, la punition et la répression de la violence et de la criminalité sont une responsabilité fondamentale et inaliénable de l'Etat, et sont donc au cœur de la politique publique, sans préjudice des responsabilités dans ce domaine peut correspondre à la société civile.
La création d'une infrastructure de sécurité forte de la démocratie institutionnelle première tâche consiste à renforcer le pouvoir civil contre les manifestations en dehors des institutions démocratiques. Divers programmes sont aventurés dans ce sujet directement et indirectement. Des projets de résolution de conflits qui cherchent une solution pacifique de celui-ci, jusqu'à ce que les programmes de réforme de la justice pénale, prison pour mineurs, le renforcement institutionnel du Procureur, des programmes de coexistence, etc. par qui réaffirme que vous ne pouvez pas ignorer l'installation des composants du système de justice pénale en fixant les orientations de l'action sur la réforme des institutions de sécurité publique.
Certaines actions sont déjà en avance, et donc apportent quelques enseignements lors de la conception des stratégies qui peuvent générer des effets positifs sur les pays de la région. Les projets mis en œuvre dans la mesure où certains pays permettent une vue dégagée sur les aspirations de la région est d'atteindre les systèmes de la police nationale civile hiérarchiquement et fonctionnellement dépendant de la branche exécutive du ministère de l'Intérieur, de l'Intérieur ou, dans certains cas, Justice-abandon des régimes non démocratiques, de répression ou purement militaristes précédentes. Pour être plus concret, le débat de fond en cours dans certains pays a à voir avec le modèle offert par la coopération policière internationale. Mais au-delà de cette question, il s'agit de créer des outils pour regagner la confiance du public dans les autorités de police, par une formation adéquate et visage professionnel pour la communauté. Par exemple, les modèles de police communautaire destinés régler les problèmes très spécifiques, l'application de méthodologies pour des zones géographiques spécifiques, impliquant activement la communauté, et demandent des renseignements pour identifier leurs aspirations, leurs besoins et préoccupations.
Axes de la réforme
Il s'agit d'une nouvelle dimension de la notion de sécurité intérieure, et ne parle pas de défis militaires, mais les défis de questions telles que l'amélioration de la qualité de vie et lutter contre la pauvreté aujourd'hui. Il existe des stratégies de coopération internationale visant à donner vie au concept de la sécurité des citoyens, et quelques-unes des interventions qui ont donné des résultats significatifs comprennent:
1) la conception et la mise en œuvre d'observatoires de la criminalité et de la violence;
2) la conception des campagnes d'aborder quelques-uns des facteurs de risque qui conduisent à la violence, comme l'abus d'alcool, la consommation de drogue et port d'armes;
3) interventions pour la récupération des zones urbaines dégradées;
4) la professionnalisation et la modernisation des forces de police, de promouvoir, de travailler en collaboration avec les communautés et le développement de nouveaux mécanismes visant à promouvoir la participation des communautés hostiles à la présence de la police,
5) la création de comités de suivi communautaire de la criminalité, et la mise en place de la résolution extrajudiciaire des différends et des conflits;
6) le développement et l'adaptation des postes de police à répondre de manière plus adéquate aux victimes de la violence domestique est.
Contrairement aux pays industrialisés, en Amérique latine, il y a de nombreux policiers et quelques juges. La relation n'est pas optimale. Cela a été le résultat d'une approche qui a décidé pleinement la répression comme une bouée de sauvetage, et une sous-cotation du recours à la justice en tant que forum pour la résolution des conflits. La tendance moderne est de vider toutes les énergies du système de prévention pour prévenir les abus de la contrainte comme un instrument unique.
Programmes d'accès à la justice sont de véritables outils de la décentralisation du service public de la justice. Du point de vue institutionnel, la création de maisons de justice, les centres de l'administration judiciaire et la résolution des différends, MBJs, les tribunaux d'entreprise et des cliniques juridiques au niveau local et municipal contribuer efficacement à réduire les «facteurs de risque» associée à faible état de droit, l'illégitimité du gouvernement et le cercle vicieux de l'impunité.
La lutte contre la corruption et la défense, la promotion et la garantie des droits fondamentaux sont des domaines transcendantaux de programmes systèmes de justice de réforme. L'éthique, la probité, la transparence et la responsabilisation de la culture devrait être un engagement à ceux qui sont à l'avant-garde des programmes de réforme dans ce domaine. De même, la protection des victimes de la criminalité doit devenir un élément central de la politique.
En fin de compte, la prudence indiquerait que, aussi controversé que cette expérience de mise en service sur le terrain avec de faibles attentes, peu d'activités, le suivi et l'évaluation de longues routes et les chemins, il est plus judicieux que la macro-importés d'autres réalités générer de fausses attentes et finissent par devenir des sources de frustration pour les pays dans lesquels ils s'appliquent.
Conclusions
• La violence n'est pas causée seulement par des facteurs d'isolement individuel, mais un réseau de connexions entre les structures, les processus et les comportements au niveau macro et micro. La violence brise le tissu social, arrête la croissance et le développement économique et sape la légitimité de l'Etat. Toute action doit simultanément débarrasser l'école, l'hôpital, le palais de justice, l'académie de police et de la rue.
• Le débat sur le niveau de la politique publique doit être conçue comme une affaire d'Etat, le gouvernement et pas seulement, et devrait être élargi et approfondi. Il y a un grand manque de connaissance approfondie sur le sujet, être tenu de l'interaction entre les divers organismes publics impliqués dans la résolution du problème. Une démocratie latino-américaine invite applications scalpel à un problème qui faisait partie d'un territoire intouchable en sciences sociales où les doctrines de sécurité nationale diabolisés aucun effort pour comprendre les causes de la criminalité et de la violence. Vous devez construire Etat des pactes, indépendant des intérêts partisans, pour assurer la continuité et la durabilité.
• La tendance à la mondialisation de la criminalité transnationale et se rapproche des exigences et des stratégies régionales. L'Etat n'est pas en mesure de répondre à cette demande des actions de coopération internationale, les engagements internationaux et la capacité d'action conjointe du global ont des résultats au niveau national et local. Des questions telles que la coopération judiciaire internationale efficace et la police sont les lignes directrices à suivre dans l'avenir.
• Nous sommes confrontés à un problème dont la résolution est enracinée dans les profondeurs de la question de la gouvernance démocratique en Amérique latine, avec tout ce que comporte spécificités. Cela implique encore que tant la réforme de la police et de la réforme de la justice pénale sont principalement la réforme de l'Etat, qui nécessite un traitement global visant à maintenir un équilibre entre les actions de contrôle et de répression, et des activités de prévention. Expressions récentes de la violence sociale en Amérique latine prouvent. L'action commence dans la famille et l'école et passer les systèmes de santé, la police, la justice, l'exécutif et même de la société civile et le secteur privé. Ce dernier obtient des possibilités de réinsertion aux délinquants.
• Non seulement la proclamation rhétorique à l'exigence que la réforme de la police est démocratique, mais placée dans le champ plus large des forces armées et de police conjointes dans un état de droit démocratique, avec tout ce que cela signifie. D'une part, il tente d'identifier la nécessité d'innover et produire de nouvelles idées sur la gestion de la relation entre les forces de sécurité et les citoyens; et d'autre part, de repenser les relations entre les forces et la société elle-même dans l'avenir de la démocratie elle-même la sécurité.
• En ce qui concerne les institutions publiques, il est clair que le manque de légitimité et de l'efficacité des institutions politiques est une source de conflit et source potentielle de violence. D'où l'importance de mettre en œuvre un programme de développement institutionnel visant à renforcer la crédibilité des institutions publiques telles que le bon niveau de la résolution des conflits et de gouvernance moderne et efficace dans le domaine des espaces de sécurité.
• Les seules considérations sociales liées au problème de la violence et de l'insécurité peut conduire à une vision unidimensionnelle qui laisse de côté une part, la responsabilité de l'état primitif institutionnelle dans ce domaine et leader de l'autre, à la stigmatisation de certains groupes sociaux, "criminaliser" la politique sociale. C'est certainement abord et avant tout un problème politique qui nécessite des stratégies et des politiques publiques comme prémisse majeure pour résoudre le problème. Les actions de contrôle et de répression de la violence au sein de la primauté du droit sont complémentaires et non incompatibles avec celles de la prévention.
• Dans le domaine de la politique publique serait trois scénarios qui se dessinent: d'abord, la mise en œuvre de mécanismes non-violentes pour résoudre les conflits typiques d'une culture de la paix; Deuxièmement, le renforcement de l'Etat de droit par le biais du système de justice, l'environnement réglementaire, la magistrature, les procureurs, les institutions resocialisation et la réinsertion du délinquant et les batailles de délinquants disputée contre la violence dans les bureaux tribunal et non dans la rue; et la troisième, ex post réalisation de l'harmonie, de la paix et de la coexistence à travers l'exercice de la contrainte en mettant l'accent sur les programmes de l'appareil de l'État - la modernisation et le renforcement institutionnel de la police et du système pénitentiaire, tandis que de côté le rôle de plus en plus proactive qui est donné à la police communautaire.
• Le cadre institutionnel de la réforme pénitentiaire doit être déposé dans les institutions civiles visant à la réadaptation, administré par les différents niveaux des forces armées et de la police, dont l'objectif principal n'est pas le renforcement institutionnel de l'administration pénitentiaire gouvernement. Coordination avec d'autres organismes dans le système de justice est essentielle. La relation entre l'administration pénitentiaire, les fonctionnaires de la prison et des détenus est une variable essentielle à considérer. La formation du personnel pénitentiaire est inexistante, minimal ou incorrects, et nécessite un cadre éthique clair et un système disciplinaire qui fonctionne. Cela affectera le traitement des internes et entraîner la création d'emploi, les possibilités, culturelles et religieuses d'enseignement.
• Comme cela semble banal d'affirmer, la principale faiblesse du secteur public dans ce domaine est la gestion et la capacité de la direction à contrôler et à réduire la criminalité et les conflits violents, beaucoup plus que l'absence de ressources économiques. Et pour cela, la quantification du phénomène et une interprétation correcte des corrélations des variables est irremplaçable car il devient ingérable, il n'est pas quantifiable et / ou correctement interprété. En bref, nous devons construire un cadre institutionnel pour la lutte contre la violence et pour la paix et la coexistence sur la base d'informations fiables, complètes et en temps opportun.
• Enfin, du point de vue de la responsabilité civique, la société civile a ses propres moyens irremplaçables pour contrôler la violence et surtout pour l'empêcher. La nécessité pour les politiques publiques qui donnent la continuité et la permanence des actions entreprises par la société civile sera essentielle pour assurer la viabilité d'un appareil d’efforts de réforme.

Bibliographie http://www.pensamientoiberoamericano.org/articulos/0/26/3/seguridad-ciudadana-en-am-rica-latina-un-bien-p-blico-cada-vez-m-s-escaso.html http://www.latinamerica.undp.org/content/dam/rblac/img/IDH/IDH-AL%20Informe%20completo.pdf