Il était seul assit au bar de ce pub vide en plein saint germain au début d’après midi, aussi seul qu’un animal délaissé. Le regard vide, l’esprit absent, vaguabendant, pensant à elle cette femme qui lui avait tout pris, son cœur, sa joie de vivre et son amour propre.
Le regret de ses actes se lisait dans ces yeux, le teint aussi pale qu’un citron et le visage tiré par des rides de fatigues causée par le manque de someil, toutes ces nuits ou il n’arrivait pas a fermer l’œil en pensant a elle.
Elle c’était Marie son ex, chose qu’il ne voulait pas admettre, une créature aussi légère qu’une brise de printemps aussi fraiche que de l’eau de source et aussi vivante qu’un petit chaton.
Une petite brune avec une peau si claire qu’il n’a jamais arrêté d’admirer tout au long de leur courte relation. Ça faisait plus d’un an qu’elle l’avait quitté, mais ses sentiments n’ont nullement étaient altérer par le temps. Il se repassait souvent ces images qui hantaient son esprit toutes ces nuits ou il la prenait dans ces bras, toutes ces nuits ou il ne croyait pas ce qu’il lui arrivait pensant que c’était trop beau pour être vrai et que si c’était vraiment vrai cela ne durerait pas, et au final il n’avait pas tort, leurs relation avait brusquement trouvé fin après son infidélité qui lui était tombé sur la tête.
Absorbé par ses pensées il a était surpris par une splendide rousse qui l’interpela par sa voix douce et fine « puis-je me joindre a vous dans votre escapade hors de ce monde cruel qui nous entoure monsieur ? »
Frappé par la beauté de la femme et stupéfait de ce qui lui arrivait, lui qui ne croyait jamais a ce genre d’événement qu’il ne voyait que dans les films pourris qu’il regardait seul dans son lit lors de soirées couvertes de solitudes. Il répondit en bégayant « be..be.. bien sure »
Elle tira alors la chaise et s’assit en lui tendant la main « bonjour, je suis Liliane, Lili pour les amis »
Avec une hésitation et une timidité flagrante il s’essuya sa main trempé et froide par le vers de Double black label dans lequel il buvait depuis des heures, et il tenu la main de la jeune femme en souriant légèrement.
« Bonjour, moi c’est Paul, et pour les amis… c’est Paul aussi»
Ce genre d’humour primitif et fade était la façon par laquelle il cachait son malaise ce qui n’était nullement efficace.
- si je te dérange je me retire Paul
Il ne put se retenir de remarquer les courbes de son corps magnifique quand elle se leva, cette robe qui épousait parfaitement ses hanches pour s’arrêter juste au bon endroit pour laisser ses cuisses blanches et ses jambes élancées se terminer par des chevilles merveilleusement fines, un décolté parfait qui mettait en valeur sa poitrine, ce mélange de charme très soft à la Monica Bellucci et la tentation dévastatrice à la Adriana Crembeu que dégageait cette femme lui fit oublier pendant quelques millièmes de secondes la tristesse qui s’était élu domicile dans son âme depuis assez longtemps.
-non…non restez donc ! répondit-il.
Elle se ressayât donc, en lui disant
-Alors Paul, laisse moi deviner a quoi tu pensais… une histoire d’amour qui a mal fini j’en suis sure… non ?
Choqué et bousculé par la façon avec laquelle Lili (parce que je suis un peu son ami) lui posa la question